S’agissant d’une des maladies les plus fréquentes chez le chat, dont on ne pourra pas déterminer la cause la plupart du temps, il est important de connaître ses signes d’alerte.
Les symptômes les plus fréquemment observés sont :
- une perte d’appétit : souvent associée à tord par le propriétaire comme un caprice ou de la lassitude.
- une augmentation de la prise de boisson : remarquée souvent par le remplissage plus fréquent des gamelles d’eau.
- une perte de poids même avec un appétit conservé.
- une augmentation de la quantité d’urine émise : remarquée par le fait de devoir changer la litière plus souvent.
- des vomissements.
- un isolement ou un désintérêt pour les activités habituellement appréciées.
Au cours de l’examen de santé annuel de votre chat, ces questions sont abordées avec votre vétérinaire. Il peut vous proposer un bilan sanguin afin de diagnostiquer le plus précocement possible la maladie. Plus elle est traitée tôt, plus l’évolution de la maladie sera lente, assurant à votre compagnon une vie plus longue et de meilleure qualité.
En plus d’un traitement médical pouvant associer médecine conventionnelle et homéopathie, une alimentation spécifique sera distribuée.
L’ostéopathie vétérinaire a également toute sa place dans la prise en charge. En redonnant un mouvement mécanique optimal aux reins et en améliorant un fonctionnement global du corps, cette médecine manuelle améliore la qualité de vie du chat insuffisant rénal chronique.